Un groupe d’étudiant.e.s de l’IHECS exposent à l’Intime Festival de Namur
Lors de la crise sanitaire, une question émerge : face au désastre, que peut la littérature ? L’écrivain Robert McLiam Wilson a recueilli pour l’occasion les récits de soignants, de familles endeuillées, des forces de l’ordre, du personnel des pompes funèbres, des caissières, des éboueurs, des habitants des maisons de repos…
En parallèle à cette résidence d’écriture, un groupe d’étudiants de l’IHECS a sillonné Namur, entre septembre et décembre 2020, dans le but de récolter de la matière médiatique. Les créations finales varient entre différents formats : des récoltes de son, des séries photographiques, de la vidéo, des podcasts, tout en interrogeant la question de l'abandon de la charge mentale des femmes, de l’accélération et la décélération du temps, de la place des animaux de compagnie ou encore de la détresse étudiante.
Ce travail s’est développé au sein d’un atelier de M1 ASCEP en collaboration avec l’intime Festival de Namur et l’écrivain Robert McLiam Wilson.
Vous pouvez retrouver l’ensemble de ces productions, tant écrites que visuelles, à la Galerie du Beffroi de Namur, jusqu’au 5 septembre inclus.
Groupe d’étudiant.e.s ASCEP :
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Emma Ladeuze,
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Célia Werner,
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Léa Masson,
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Thomas Menestret,
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David Parra Gonzalez,
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Laura Leeuwe,
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Sophie Oger,
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Pauline Habran,
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Louise Barreau.
Plus d’info et source : Les disparus, Récits d’une pandémie (Namur, 2020-21)