Retour sur la conférence « Communication publique au Maroc, Réalités et perspectives, regards croisés belgo-marocains »

06.05.2024
Ce 23 avril, nos étudiants et ceux de l'UIR, leurs enseignants et des professionnels de la communication se sont réunis pour assister à la conférence « Communication publique au Maroc, Réalités et perspectives, regards croisés belgo-marocains »

Cette rencontre, que son Excellence Monsieur Mohammed Ameur, Ambassadeur du Maroc auprès du Royaume de Belgique et du Grand-duché du Luxembourg nous a fait l’honneur d’introduire, s’inscrit dans le cadre de la commémoration du 60e anniversaire de la signature de la convention bilatérale belgo-marocaine de recrutement de travailleurs.

Après les mises en contexte de Jean-François Raskin, Administrateur Général de l’IHECS et du Professeur Farid El Asri, Doyen du Collège des Sciences Sociales de l’UIR, un débat s’est engagé autour de thèses ambiantes et d’un partage d’expériences sur la notion de communication publique en Belgique et au Maroc.

Christopher Barzal, associé spécialisé en corporate Affairs chez Akkanto, Najlae Benmbarek, consultante en communication Nota Bene Consulting, Caroline Joris, coordinatrice service Diffusion à la Direction générale Communication externe du SPF Chancellerie du 1er Ministre, Kamal Taibi, fondateur de l’agence Stratëus Group et les professeures Sara Mejdoubi, directrice adjointe de Communication et Médias au sein du Collège des sciences humaines de l’UIR et Elise Le Moing-Maas, présidente de la section Relations Publiques de l’IHECS ont évoqué les questions de frontières entre communication publique et politique,  le rôle de la communication publique dans l'enrôlement citoyen, l’influence de la communication publique sur les choix comportementaux des individus et les questions de confiance entre institutions publiques, état et citoyens. Animée par Salma Haouach, directrice générale adjointe de la WBE et chroniqueuse Forbes, la conférence a permis d'aborder ces questions aussi bien d’un point de vue réflexif que comparatif et générée des échanges riches et diversifiés. Ces axes abordés aussi bien d’un point de vue réflexif que comparatif ont permis des échanges riches et diversifiés.